Arrivé... enfin...

Les jours avaient passé, aussi long que douloureux. Le deuil avait été difficile... tout quitter d'autant plus. La sécurité d'un abris, une posiion plus que confortable... Elle avait fait son choix. Ou plutot, elles l'avait forcé a choisir. Si le confort de sa vie passé lui permettait aisement de vivre sans travailler, ce ne serait plus le cas, et avec cette bouche de plus a nourire trouver un travail devenait un besoin fondamental.

Il falait a tout prix proteger son fils, Reikan, comme son père, même si pour cela elle devait mettre sa propre vie en danger. Elle avait passé de nombreuses heures a contempler le vide et reflechir, avant d'être parvenu a cette conclusion: C'était encore dans la gueule du loup qu'elle serait le plus en securité. Une agence... Cela lui serait doublement profitable car elle pourrait aisement proteger les siennes qui le meritait, ou accesoirement, faire decendre celles qui la genait. C'était la dure loi de la réalité.

Son enfant était rester chez elle, en compagnie d'une femme qui avait toute sa confiance, et qui pourrait facilement le proteger, puis elle avait fureté, chercher les bonnes idées. Elle avait enfin trouver quelque chose. Un pasteur espagnole qui arriverait en ville, il aurait acheter un batiment du côté du Luxembourg pour y monter une agence. Il avait une histoire pas très claire de socière derière lui, mais il ne serait jamais trop tard pour eclaircir ce point.

C'est ainsi que Cerseï se retrouva en après midi, devant une batisse quelque peu lugubre. Le bois, ne semblait plus entretenu depuis longtemps, mais elle ne doutait pas que le propriétaire, aurait tôt fait de la rétablire.
Elle s'approcha, et frappa la porte avant de la poussé.

"Excusez moi..."

Elle l'apercut enfin, au fond de la salle, étaler contre le mur, il semblait pleurer. Elle hésita, se rapprocher, peut être avais il besoin d'aide? Elle n'en était pas sur. Elle recula a peine.

"Pardonnez moi, je ne voulait pas vous derangez, je repasserait plus tard..."

La porte s'ouvrit avec un grincement ennuyeux et agressif aux oreilles du Pasteur. Il releva la tête. Une femme. Une femme se tenait dans l'encadrement et le regardait comme une bête curieuse. Il était assommé, il avait très peu dormit. Il se redressa d'un mouvement lent et appliqué et posa la main sur son épée.

Elle commençait à faire un pas en arrière. Elle voulait partir. Seleñio eut un léger sourir et lui envoya au visage:

- Vous devez être le comité d'accueil.

Il avait une voix chaleureuse et un accent espagnole à couper au couteau. Il fit un pas vers elle pour la distinguer un peu mieux. Il essayait de la jauger. Il huma son parfum et plongea dans ses yeux. Il voulait savoir. Puis il délia sa langue et commença un rapide interrogatoire.

- Je vous préviens, je en suis pas d'humeur à rigoler. Que faites vous ici? Vous cherchez quelqu'un en particulier? La chappelle est fermée. Depuis longtemps. J'imagine que vous n'êtes pas ici par hasard.

Il bondit en avant au moment où il était suffisamment proche d'elle pour la rejoindre en la surprenant. Il ne voulait pas laisser sa chance à cette fille de réfléchir. Une jolie femme qui attends un Matamauros le jour de son arrivée... C'était suspect. Il s'arrêta à quelques centimètres du visage de la jeune-femme.

- Je ne crois pas au hasard.

Si l'homme avait parrut désamparé, il ne l'était plus. Il s'était relevé, et lui avait lancé une affiramtion plus que curieuse. A la manière dont il l'inspectait, elle pensa rapidement qu'elle avait bien fait de laisser la pièrre dorée, qui l'indentifiait comme sorcière au poignet de son fils.

"Je ne sais pas de quoi vous parlez... on m'as juste..."

Il ne lui avait pas laiser le temps de finir, et par politesse elle s'était tue, de plus son fort accent rendait la compréhension un peu dur, et il ne servait a rien qu'elle en rajoute. Son ton semblait chaleureux mais elle voyait bien dans son attitude qu'il la jaugeait plainement, et pourquoi pas, tantait de la destabilisé. Biensur la jeune femme n'était aps des plus a l'aise dans sa nouvelle condition, mais elle n'avait pas perdu toute son assurance.

Il avait bondit vers elle, un mouvement impréssionant, peut être autant que l'épée qui pendait, menacante a sa ceinture, elle eut un mouvement de recul, comme l'aurait a priorit eut n'importe qui.

"Je vous préviens, je en suis pas d'humeur à rigoler. Que faites vous ici? Vous cherchez quelqu'un en particulier? La chappelle est fermée. Depuis longtemps. J'imagine que vous n'êtes pas ici par hasard. "

Il était étrange, parlait vite, la pressant, il s'était arreter quelques centimètre de son visage, et elle pouvais le regarder dans le blanc des yeux. Il concluait. Du hasard... non, cela n'avait rien d'un hasard, mais rien de suspect non plus. Elle recula un peu le corps, sa tête, pour pouvoir respirer sans sentir le souffle de son interlocuteur dans son visage.

"J'ai toujours crut que les espagnoles étaient d'une extrème politesse, en outre, se rapprocher si prêt d'une personne a moins que vous ne souhaitiez qu'elle vous embrasse est assez... louche par ici."

Il avait reculer, comprenant certainnement la gène de la situation. Elle prit un ton plus cale, plus posé et surtout plus agréable, car elle y avait tout interet si elle voulait obtenir ce qu'elle souhaitait.

"Non ce n'est pas un hasard si je suis la. J'ai eut vent de l'arriver d'un certain Esperanza ici; j'immagine que c'est vous."

Elle prenait son temps pour s'exprimer, lui démontrant ainsi que malgrès sa tentative de la perturber, il n'était pas arriver a la faire stresser. La jeune femme en avait eut d'autre.
Elle en venait maintenant a la conclusion, comme il semblait tout ouie.

"Je cherche du travail. J'ai recement fêter un evenement heureux... disons qu'il aurait dut l'être, si le père de l'enfant que j'ai mis au monde n'avait pas été assassiné."

Elle le fixait toujours de ses yeux noisettes, Il ne fallait pas l'apitoyer, juste donner les faits, crut, sans autre forme de manière. Elle n'était pas la pour être plainte, elle était la pour du travail, et c'était ce qu'il fallait obtenir.

"Cela vous serat peut être egal, mais les blessures sur le corps ne laisse aucun doute, c'est une sorcière qui l'as tuer. Mais ca m'est egale."

Un petit mesonge ne ferait de mal a personne...

"Que ce soit une de ces femmes, ou un voisin, il mort, et rien ne pourra y changer. Ce dont j'ai besoin, c'est de quoi permettre de nourire mon fils. Et j'eperait trouver cela, en venant ici."

Son ton était determiner, et sa figure aussi. Elle ne le lacherait certainnement que lorsqu'elle aurait une réponse.

Elle avait eut vent de son arrivée. Caramba! elle allait un peu vite en besogne en plus. Mais après-tout elle sembalit de bonne foi. elle était constente et Seleñio était un homme assez carré pour reconnaître quelqu'un qui ne se laisse pas impressionner si facilement. Il toussa et se détendit un peu. Juste ce qu'il fallait pour la mettre en confiance. Il se dirrigea vers les escaliers qui montaient à l'étage sur le mur Est. Il s'assit sur les quatres premières marches.

- Pardonnez-moi. Je viens de subir des désagréments très pénibles et je ne connais personne ici. C'est pour cela que je suis surpris de vous voir aussi tôt.

Il fouilla ses poches et sortit un paquet de cigarettes. Il en mit une entre ses lèvres et tira une bouffée alors que le bout de la cigarette était plongé dans une flamme. Il rangea son briquet et aspira un peu plus. Puis il relâcha la pression de ses poumons.

- Madre de Dio. ca fait du bien.

Il regarda dans la direction de la demoiselle. Il n'affichait pas un regard très amène et il désigna pour elle dans un coin poussiéreux une chaise.

- Asseyez-vous, nous allons dicuter. Dites-moi ce que vous savez sur les sorcières.

Il semblait plus détendu a présent et toute trace de sa tristesse passé semblait s'être evaporer. Il s'était éloigner s'asseyant sur les marches de l'escalier qui tronait seul au milieu de la salle, l'invitant implicitement a entrer
Elle ferma la porte derière elle, mais en profitapour ouvrir un volet, afin de ne pas être plonger dans le noir. Cette lumière qui ne semblait provenir que 'un et unique ndroit plongeait la piece dans une athmosphère étrange
un peu comme celle qu'on pouvais parfois trouver dans les parodies de sorières.

Il avait subit des désagréaments? Elle aurait bien aimer savoir quoi...

"Des désagréments? Du même type que les miens...?"

La question se voulait anodine, et si elle servait en grande partie a alimenter la curiosité de la femme, elle lui permettait egalement d'en savoir un peu plus sur ce Selenio.

Il avait non chalement sortit de sa poche un petit paquet dont il tira une cigarette. Un juron de bonheur, elle avait un petit sourire.

"Un blasphème? Je ne m'attendait pas a cela d'un homme qui semble si... "proche" de Dieu. Si la cigarette fait du bien a l'âme, en tout cas pas au corps, mais je vous epargnerait le sermon, vous savez cela mieu que moi j'immagine."

Il la regardait, et désigna d'un mouvement de tête une chaise, elle s'avanca un peu, mais resta droite.

"Je suis bien debout, a moins que cela ne vous derange..."

Il ne fit aucune remarque la dessus, lui demandant sans aucune gène ce qu'ellesavait des sorcières. Son visage trahit un faible sourire. Si elle lui repetait tout ce qu'elle savait, nul ne doutait qu'elle serait decouverte.

"Je sais ce qu'on en dit, suffisament pour les reconnaitres et m'en mefier; bien que je ne soit pas intimement convaincu de leur mal fondé. On raconte qu'avant, elles étaient largement exploité par la société. Je n'irait pas jusqu'a dire que c'est un juste retour des choses, mais je me pose des questions."

Elle ne semblait pas pleine de rancoeur pour une femme dont l'amant avait été tué par ces créatures, mais elle l'avait dit, elles ou d'autres... Cela avait peu d'importance.

"Je ne pense pas vous êtres d'une quelquonque utilité a la traque de ces sorcières. Mon domaine serait plutot regler les contrats, les obtenirs, s'arranger pour eviter trop de concurance... Tout ca dans le respect strict de la loi bien entendu."

Elle ne souriait plus, et se montrait serieuse pourtant elle en aurait eut envi. La situation l'amusait, elle avait l'impression d'être dans un de ces films de gangsters ou la dernière phrase qu'elle avait énonncé aurait pris un tout autre sens. Cerseï finit par s'assoir.

Il l'observait, comme on observe une bête au zoo. C'était déplaisant. Elle savait qu'il cherchait ce qui clochait, mis que pouvais il trouver? elle avait besoin de boulot, et elle n'était pas de celle qui allait attendre sagement a l'Anpe qu'on lui trouve un boulot d'aide ménagère. Elle était assez caractèriel pour faire ses démarches elle même, ce qui a son avis devait rapporter plus qu'autre chose.

Son ton était devenu, tranchant, acide, et Cersei, se senti etonnament mal a l'aise, elle qui avait jusque la fait torner les choses comme elle le désirait. Elle se sentait viser, ce qu'il disait n'était pas flatteur, du moins elle en avait l'impression, et il enchainait trop vite pour qu'elle puisse répliquer quoi que ce soit. Acculé. Il avait ouvert le fagot jeter negligement contre le mur, et elle put d'écouvrir l'acier blanc de six épées. Ses sourcils se froncèrent, il semblait croire qu'elle était la pour cela et pourtant elle n'en était absoluement pas au courant. Elle ne savait aps ce que signifiait Matamauros, c'était simplement pour elle, le nom d'une nouvelle agence qui allait s'installer ici.

Et lorsqu'il se planta devant elle, elle eut l'envi imperceptible de reculer, comme par instinc de survit, car l'homme qui était jusque la, normal, l'effrayait un peu par son comportement. Mais la suite finit par la rassurer. Le soulagement, elle soupira avec un sourire, et acquièca d'un mouvement de tête.

"Je doit avoué que vous m'avez inquieter l'espace d'un intant..."

La remarque sembla le faire sourire, puis il lui demanda son nom.

"Cerseï Enora."

L'idée de travailler, 7 jours par semaine ne l'enchantait guerre, mais comme il l'avait dit elle aurait ses congés. Le boulot serat surtout dure les premiers temps et cela se tasserait. Elle l'esperait. Elle se demandait bie comment elle pourrait se charger du recrutement si elle ne savait pas ce qu'il désirait, mais ilavait mentionner des details qu'il revelerait plus tard.

"Vous allez peut être trouver cela dépacer, mais combien gagnerait-je par mois?"

Elle se maudissait s prudence, après tout, il était logique de parler de ca, elle l'avait dit, elle avait besoin d'argent, sinon elle se passerait certainnement de travailler.

"Je prendrait me disposition, pour mon fils. J'immagine que vous me préciserez en temps voulut ce que vous voulez précisement que j'effectue."

Le Padre ne tarda pas a lui expliquer ce qu'elle aurait a faire avec un leger sourire. Le premier visage a croisé, la facade en sorte. Il fallait être acceuillant, mais a la fois inspirer le serieux. Elle ne savait pas trop ce qu'elle devait prendre pour client, les gens qui souhaitaient faire assassiné une sorcière? ou bien si c'était une sorcière qui se présentait, donc une futur victime. Le jeu de mot était peut être fait volontairement.

Il lui parlait ensuie des locaux, cela l'amusa. Elle n'étit pas très forte en décoration, mais c'était sur qu'elle pouvaisarranger les choses. Un peu de ménage n'aurait pas été du luxe. Mais une fois que les lieux seraient entretenu, cela irait bien mieu.

"Je rammenerait ca alors."

Il la congediait maintenant. C'était bien la première fois que Cerseï voyait un employeur laisser son employer fixer le salaire, c'étai iréel. Elle décida de ne rien dire a se propos, et verrait bien a combien le pasteur estimait son travail, si cela ne lui suffisait pas, elle négocierait, ou bien démissionerait.

"J'y penserait, mais je ne croit pas que ce soit une athmosphère très propice a un nourisson. Je trouverait quelqu'un pour me le garder."

La discution était close, elle reviendrait le lendemain, 9h. Voila enfin quelque chose qui changrait sa vie. Elle se dirigea vers la sortie. Portant un derière regard a l'interieur de l'agence.

"Alors a Demain, Padre. Je serait a l'heure."

Un sourire, et la jeune femme abbandonna le batiment.

[Un peu court désolé, mais je ne savait pas trop qoi dire]