Première approche ...

En fin de journée Paris est comme une fourmilière dans laquelle l'on a mis un coup de pied. Les gens s'agite, hurle leur colère et se retrouve bloquer dans des ruelles ou l'on essayer de forcer le passage en voiture. De son point de vue, Gwen ne peut que s'amusé d'une telle situation d'autant plus qu'elle, elle semble hors de toute agitation tranquillement posé contre le mur de l'agence Matamauros elle attend patiemment. Elle ne s'en rendait pas compte mais lorsque l'on porte un grand manteau par-dessus une robe de couleur sombre et des gants, l'on vous prend pour une détective.

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I walk a lonely road Première approche ... 604926Note

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The only one that I have ever known Première approche ... 604926Note

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Don't know where it goes Première approche ... 604926Note

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But it's home to me and I walk alone Première approche ... 604926Note

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I walk this empty street Première approche ... 604926Note

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On the Boulevard of Broken Dreams Première approche ... 604926Note

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Where the city sleeps Première approche ... 604926Note

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And I'm the only one and I walk alone Première approche ... 604926Note

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La fin d'après midi, Cerseï l'attendait avec impatience. Le moment doux ou elle pouvais rentrer chez elle, reveiller son bout de choux. Elle avait une confiance totale, dans les personnes qui le gardait, cette femme donnerait sa vie pour le proteger, comme pour ses prores enfants, elle le savait, mais il restait toujours une petite apréhension quand elle restait toute la journée ici.

Les chasseurs étaien partient depuis longtemps, mais aucun n'était revenu. Cela attendrait le lendemain, de toute facon, une sorcière morte pouvais bien attendre un moment, rien ne pressait.
Elle avait finit de mettre quelques papiers en ordre, des fiches, de client, victimes potentielles. Il fallait toujours se charger de verifier la nature des personnes soupsonée sorcières. Ce n'était pas une agence de mercenaire qu'on payait pour tuer n'importe qui.

Elle avait rammasser ses affaires, passé sa veste et attrapé son trousseau de clef, il aurait été dommage qu'on viennent les voler durant la nuit. Elle sortit, se tournant sur la porte pour la clore et la verouiller. Tournant la tête, Cerseï s'appercut qu'une jeune femme qui semblait tout droit sortie d'un autre siècle était adossé au mur.

Sa tenue était étrange et laissait Cerseï perplexe. Elle semblait attendre quelque chose et Cerseï toujours mefiante, se décida a la faire partir.

"C'est fermer."

La femme la regardait, mais ne semblai pas vouloir partir. Cerseï remonta son sac sur son épaule, et y enfouit ses clefs.

"Je peut vous aider?"

"Oh ... Vous êtes bien miss Enora ? Je me présente Gwenaëlle Hartness du magazine Millénium. Nous enquêtons sur les évènements mystérieux de ce siècle et ... Je sais que c'est un sujet épineux et je ne vais pas y aller par quatre chemins mais vous étiez bien la femme de Reikan ... Il est mort de façon bien mystérieuse ce n'est pas tout les jours que l'on voit une arme faire un trou pareil dans la poitrine. La police a laissé tombé l'enquête mais nous sommes persuadé que nous pourrions trouvé la réponse, pour cela on a besoin de votre aide."

A peine fut elle interpellé par Enora qu'elle redressa la tête. Finit la chanson pour faire passé le temps, sa cible était là juste devant elle. Un bref instant elle se demandait ce qu'elle allait faire et puis finalement, contre toute attente elle décida de ne pas jouer franc jeux avec elle. En même temps abordé quelqu'un en lui disant qu'on est une sorcière et que l'on désire discuté avec elle soit elle n'est pas une alliée et elle allait tenté de l'abattre soit elle était humaine et ça pourrait lui poser beaucoup de problème. La tache allait être ardu mais le point positif c'est que le poisson venait d'être ferré, il suffisait maintenant d'aller dans son sens et de se laisser mené avant de la ramener à elle.

La femme repondit rapidement. Elle disait faire parti du magazine Millénium, mais son nom ne lui disait vraiment rien. Cerseï ne lisait pas beaucoup les magazines, et assimilait cela plus a de la presse a scandale ou a sensation, qu'un veritable journal. Question de point de vu...

Elle l'écoutait, elle n'était pas du genre a filer, bien qu'elle aurait aimer. S'attarder ne lui disait rien. La femme savait manifestement a qui elle s'adressait, et Cerseï se doutait du pourquoi. Quelques mots de plus, et ses doutes étaient confirmer. Cerseï secoua la tête et voulut repliquer, s'éloigner. Mais la femme semblait bien connaitre son metier, et l'empechait de passé tout en continuant son discours.

"Ecoutez... Je n'ai pas envi d'en parler. La police as déja pris ma déclaration."

Elle parvint a se degager, mais cette Gwenaelle la suivait en insistant . Cerseï s'arreta alors, tel qu'elle connaissat les journalistes, ils ne la lacherait pas.

"Qu'est-ce que vous voulez savoir? Si ce sont des sorcières qui l'on tuer? Vous l'avez dit vous même, il existe peu d'arme pouvant faire ce genre de blessure. Que voulez vous de plus? Que je dise que je les deteste? parce que ca ferait vendre? Et bien faites le. Que ce soit vrai ou pas, je suis su que vous trouverez une manière très convainquante de le dire. Après tout, j'aurait toutes les raisons du monde..."

Elle se calma, cette femme n'y était pour rien, ce n'était qu'un de ces charognards a la recherche du moindre scoop. Cerseï poussa un soupire.

"Je ne sais pas pourquoi elle s'en sont pris a lui. Tout ce ce que je veux, c'est oublier, et profiter de mon fils avant qu'elles n'essaient de me le prendre lui aussi."

Ce n'était pas tout a fait vrai. Elle savait pourquoi, mais le dire n'aurait pas été très productif.

Théâtrale au possible, Gwen essayée de la retenir le plus qu'elle pouvait et finalement ça payait. La demoiselle semblée bavarde, beaucoup trop d'ailleurs pour que ce ne soit qu'une simple hypothèse lancée au hasard d'autant plus que Gwen n'a pas abordée le sujet des sorcières. Et puis cette dernière phrase, elle semble persuadé que les sorcières reviendront pour son fils, même si il est vrai que les sorcières ne sont plus vraiment un mystère peut son capable d'en expliquer leur fonctionnement si ce n'est ... Une sorcière.

"Et pourquoi reviendraient-elles chercher votre fils ? Si je me souviens bien vous avez dit que vous aviez donné votre fils à votre mari et qu'ensuite seulement il était mort ... Quand il était avec l'enfant. Arrêtez moi si je me trompe mais si les fameuses sorcières comme vous le dite veulent prendre votre fils alors elle l'aurait fait ce jour là non ? Ah moins que quelque chose les en est empêcher ..."

Des questions, encores des questions, cette femme commencai a la mettre mal a l'aise, a essayer de lui faire dire ce qu'elle ne souhaitait pas. Cerseï s'emportait, il fallait ouper court a cette conversastion, cette fouinneuse ne lui apporterait que des ennuis.

"Ce n'était pas mon mari... J'espèrait juste qu'il le deviendrait. En outre, est-ce que vous savez pourquoi elle l'on tuer? Non, vous ne savez pas plus que moi, alors pourquoi elle viendrait pour mon fils, je n'en sais rien. Et si vous voulez savoir ce qui les as empecher de continuer a massacrer le corps de mon compagnon; c'est moi, et le flingue que j'ai sorti de sa table de nuit."

Elle la regardait, droite, et dans ses yeux brulaient un feu étrange, a la fois fait de colère et de crainte.

"Je n'ai rien d'autre a ajouté."

Et une idée traversa alors son esprit. Si cette femme n'était pas simplement la pour ce soit disant journal. Si cette femme était attentive, elle pourrait aisement deviner que Cerseï avait compris que quelquechose clochait.

"Le flingue sortie de sa table de nuit bien sur ... Euh, je vais jouer la fouineuse mais il y a encore un souci. Si comme vous le dite miss Enora vous avez utilisez une arme à feu alors pourquoi la police n'a pas retrouvé de douille ? De même que personne n'a entendu tirer de coups de feu et pour finir vous avez fait quoi de l'arme ? Comprenez moi ça fait beaucoup de question auquel je suis sur vous ne pourrez répondre pour la bonne et simple raison qu'il n'y a jamais eu de coup de feu. Ca ne sert a rien de vous braquez comme ca, si je suis votre ennemi je ne serais pas venu vous parlez. Allons boire un café tranquillement et discuté de tout ça ensemble non ?"

Pour Gwen, le jeu était terminé et il semblait sur maintenant que Cersei était une sorcière. La première étape terminé, c'est le moment pour Gwen de jouer franc jeu avec Cersei mais avant ca elle devait savoir de qu'elle côté elle était. Lorsque l'on passe sa vie à fuir et à être chassé c'est toujours dificille de donner sa confiance à une sombre incconue. Elle connaissait cela elle aussi.

Cersei la regardait droite. Cette femme commencait a l'enerver. Mais elle s'était attendut a cette question, et elle avait une réponse toute trouvé. Pas de douille, logique, la flingue chargé a blanc, chose que les sorcières ne savait aps. Un mensonge de plus? au point ou elle en était... Mais ce qui la dissuada fut sa dernière phrase.

Cette femme n'était absoluement pas la pour parler de cette histoire. Elle était la pour autre chose, et cela ne lui plaisait pas du tout.

"Vous savez pourquoi on n'as rien retrouver ni entendu? Vou avez raison... Il n'y a jamais eut de coup de feu, de la même manière que vous n'avez jamais été journaliste. Alors arretons de jouer je vous prie, et dite moi ce que vous êtes venu chercher."

Cerseï recommenca a marcher. Il était hors de question d'aller dans un endroit publique. Cerseï savait trop bien ce que cela pouvais signifier. Si lajeune femme l'acculait dans ses pire retranchement, elle ne pourrait se défendre sans se compromettre. Cett peudo journaliste était prudente. Mais ca ne marcherat pas comme ca.

"Mon fils m'attend, je vous propose d'aller chez moi..."

Elle attendait sa réponse, de toute facon, si elle souhaitait savoir quelque chose, elle serait obliger d'accepter.

"Chez vous ? Et si j'en voulais a votre fils ... Ou si vous en vouliez a moi ? Mais après tout c'est moi qui doit faire les efforts alors bon allons chez vous. Et vous savez je n'étais pas si mal en tant que journaliste, fouineuse à souhait limite agaçante le portrait type de la journaliste. Au faite, je m'appelles bien Gwenaëlle Hartness, et je ne suis qu'une simple bibliothécaire, mais je ne vais pas en dire plus j'attendrais que l'on soit chez vous."

La demoiselle la suivait, glissant ses mains dans ses poches. Elle pourrait essayer de la distancé ou d'user de quelconque artifice, sans se dévoiler elle savait très bien où habité la demoiselle après tout elle connaissait son nom, celui de son compagnon mort, son boulot et son fils c'était sommes toute logique de savoir où elle habite. Au vue de la méfiance de la demoiselle, elle ne lui annoncerait pas qu'elle connaissait l'adresse ca pourrait attiser encore un peut plus la flamme et il faut se l'avouer Gwen n'est franchement pas porter sur le combat.

(Je te laisse poursuivre dans la section approprié, dans son appartement)