La jeune femme acceptait, mais avait eut, comme prevut, certainnes réticences, mais c'était vite résigner, sahant pertinament qu'il n'y avait que comme cela qu'elle parviendrait a ses fins. Quand elle aborda l'hypothèse selon laquelle elle pourrait très bien en vouloir a Reikan, Cerseï s'arreta et se retourna vers elle.
"Vous serez morte bien avant de l'avoir approché."
Le ton était menacant et très significatif. Cerseï ne se cachait plus. Gwenaelle savait, forcement, et Cersei était presque sur qu'elle était elle même une sorcière. L'assurance dont elle faisait preuve ne trompait pas. Cerseï se demandait même si elle ne savait pas déja ou elle habitait, cela n'aurait pas été étonnant.
Elles ateingnire l'immeuble qui venait d'un autre siècle. Poussant les lourdes portes de verre qui ne fermaient même plus. Elles croisèrent des gamins courant dans la cage d'escalier. Cerseï se poussa pour les laissez passé. L'un deux s'arreta et vint a salué.
"Bonjour m'dame Cerseï. Merci pour l'autre jour."
Elle acquièca d'un mouvement de tête, lui rendant son sourire alors qu'il courrut rejoindre ses compagnons. Elle était visiblement aprécier. Ce petit Akim a qui le avait éviter de nombreux ennuit quelques jours auparavant.
Elles montèrent les escaliers, et a la surprise de Gwenaelle, Elle ne s'arreta pas devant chez elle, mais devant la porte voisine de pallié. Elle toqua, et une femme bien en chère, africaine il semblait leur ouvrit. Un sourire au visage.
"Tu es venu chercher Reikan? Il dort comme un loir. Ca serait dommage de le reveiller; il est si mignon."
Cerseï souriait, elles pouvaient appercevoir le gamin dormir dans a barreau au fond de la pièce.
"En faite, j'ai une invité, et ca m'arrangerait si tu pouvais le garder un peu plus longtemps. Sinon, ce n'est pas grave."
La femme observa un instant cette "invité" d'un mavais oeuil avant de se radoucir.
"Un amour comme ca, je te le garde autant que tu veux."
"Merci."
Cerse allait s'éloigner, mais elle l'apostropha de nouveau.
"Il y a du gateau qui cuit, tu veux venir? Elle peut venir."
Les derniers mots avaient été prononcé en direction de Gwenaelle.
"Je te remercit, mais on doit parler de chose importante, je passerait plus tard. Promis."
La grosse femme attrapa Cerseï et déposa un gros bisous sur sa joue, lui tirant un sourire. Le cadre de vie n'était peu être pas idyllique, mais les gens étaient formidable.
Les deux femmes penetrairent enfin ans l'appartement de Cerseï, elle jetta ses clefs près du telephone avant d'aller se servir un verre d'eau, et de s'installer dans un fauteuil.
"Alors... pourquoi vous me harcelez?"